🌟 Grille De Paiement Du Lait De Vache 2020

Soyeztoujours informé de nos dernières innovations et des offres du moment ! S'inscrire Vous pouvez vous désinscrire à tout moment. Lesfaits marquants En mai 2020, les prix du lait de vache bio se stabilisent sur un an En mai 2020, la part de la collecte de lait de vache Bio représente 4,8 % de la collecte totale et celle de la collecte de lait AOP/IGP en représente 17,3 %. Sur la même période, le prix du lait de vache Bio standard s’établit à 416 C/1 000 litres, en hausse de 8 C/1 000 litres par rapport à mai calculd’un prix de base du lait par classe. Info pratique: La moyenne mensuelle des taux est pondérée des volumes du jour du prélèvement. La moyenne annuelle des taux est pondérée des volumes mensuels. II – QUALITE MICROBIOLOGIQUE DES LAITS 1 - QUALITE BACTERIOLOGIQUE - Grille de notation - - Tableau de gradation - Flore totale nb/ml Somme Laccord interprofessionnel relatif au paiement du lait de vache en fonction de sa composition et de sa qualité est renouvelé et entrera en application le 1erjanvier 2020. Résultat de discussions entre les professionnels de la filière, il renforce le dispositif de contrôle des antibiotiques dans le Iln’est pas question pour autant de revoir les grilles régionales de paiement du lait à la qualité. « Aucune discussion n’est menée au niveau du Cniel ou des Criel en ce sens , assure Caroline Le Poultier, directrice générale du Cniel, en rappelant que ces grilles ont été notifiées en 2015 auprès de la Commission européenne pour vérifier leur conformité aux règles de la CerfaN°: en cours Page 1/16 Date de mise à jour : 07/07/2022 n°en cours NOTICE D ’INFORMATION A L’ATTENTION DES BENEFICIAIRES POTENTIELS INVESTISSEMENTS DANS LES BATIMENTS D’ELEVAGE DANS LES EXPLOITATIONS AGRICOLES VOLET MAITRISE DE LA PERFORMANCE ENERGETIQUE TYPE D ’OPERATION 4.1.1 DU Accordinterprofessionnel régional relatif au paiement du lait de vache en fonction de sa composition et de sa qualité du 6 décembre 2016 et son avenant du 5 décembre 2017. Nombre d'analyses minimal par Modalités de classement Référence Seuils Incidence financière en {tIOODI producteur Inférieur à Inférieur à 100 000 germes/ml 0,00t: i! Germes (') 3 par mois Laconvention collective du lait est identifiable sous le numéro de brochure 3608 et l'IDCC 7004. Elle règle les rapports entre les employeurs et les salariés des coopératives laitières, les SICA ( Sociétés d'Intérêt Collectif Agricole) laitières dont les activités sont : - fabrication de lait liquide. - fabrication de beurre. Linterprofession laitière est claire à ce sujet : les grilles de paiement du lait ne se verront pas modifiées sous prétexte du changement Bdz1bWO. Accueil > Sanitaire > Retour à l'accueil Bovins / Bovins lait Mammite et taux cellulaire Publié le 22/06/2015 à 15h57 Mis à jour le 22/06/2015 à 15h57 La qualité du lait est une préoccupation majeure des éleveurs. Un problème fréquemment rencontré est celui des taux cellulaires élevés et des mammites. Les mammites sont facilement détectables, mais les cellules sont fortement pénalisantes et difficilement détectables. Mammites et taux cellulaire quelle différence ? Une mammite est une inflammation d’un quartier, liée à une infection par des bactéries pathogènes entrées par le canal du trayon et se multipliant dans le quartier. Cette infection a pour conséquence un afflux de cellules immunitaires, appelées leucocytes au niveau du quartier. Lors de mammites, trois situations sont possibles Les microbes sont très agressifs et provoquent l’arrivée d’un grand nombre de leucocytes. La vache arrive à se débarrasser des bactéries la guérison est spontanée 20 % des cas. Dans ce cas, on peut remarquer une augmentation soudaine du taux cellulaire sans conséquence pour la suite. Les microbes sont agressifs mais l’afflux de leucocyte est insuffisant ou trop tardif. La réponse immunitaire n’est pas suffisante et le quartier déclare une mammite clinique avec des symptômes extérieurs quartier gonflé, chaud et douloureux, perturbation de la sécrétion lactée, présence de grumeaux dans le lait, animal abattu et fiévreux dans les cas les plus graves. Dans ce cas, un traitement du quartier doit être réalisé rapidement, il faut également traiter par voie générale en cas de fièvre et d’abattement. Les microbes sont moins agressifs et la réaction cellulaire est modérée. Un équilibre s’installe entre bactéries et cellules, le quartier ne guérit pas. La mammite est subclinique, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de symptômes le lait et le quartier ne sont pas modifiés. Les leucocytes arrivent par vague dans le quartier, ce qui entraine de fortes variations des taux cellulaires journaliers. Comment interpréter les comptages cellulaires mensuels ? Un seul comptage donne une indication de l’état d’infection d’une mamelle par un pathogène majeur à un moment donné Comptage inférieur à 300 000 cellules = mamelle saine Comptage compris entre 300 000 et 800 000 cellules = mamelle douteuse Comptage supérieur à 800 000 cellules = mamelle infectée Des comptages cellulaires mensuels permettent de connaître le niveau d’infection des vaches Vache saine vache sans aucun taux cellulaire supérieur ou égal à 300 000. Vache douteuse vache avec au moins un taux cellulaire supérieur à 300 000 Vache infectée vache avec au moins deux taux cellulaires supérieurs à 800 000 Vache incurable vache infectée sur 2 lactations Les comptages cellulaires et l’historique mammites donnent une indication sur le type de modèle de contamination Beaucoup de vaches à taux cellulaires élevés et peu de mammites cliniques ou uniquement sur les vaches à taux cellulaires élevés = modèle à réservoir mammaire Peu de vaches à comptage élevé et beaucoup de mammites cliniques sur les vaches à comptage bas = modèle à réservoir environnemental Si les deux problèmes se cumulent, à savoir comptages cellulaires élevés et mammites cliniques sur vaches saines = modèle mixte réservoir mammaire et environnemental. Bien entendu, il est nécessaire de bien noter tous les cas de mammites cliniques et de les communiquer à l’agent de pesée ou au contrôleur pour que les documents soient le plus fiable possible. RFI Le Gaec de Brandeha regroupe aujourd’hui quatre agriculteurs sur la commune d’Allaire. Quatre-vingt vaches sur une superficie de 180 hectares et une production de plus de 400 000 litres de lait par an. En 2001, c’est vous qui avez fait le choix du passage à l’agriculture biologique. Qu’est-ce qui vous a poussé à faire ce choix ?Christophe Baron Cela a été un concours de circonstances. J’avais été sensibilisé à la question des pesticides lors d’un colloque à Pontivy, en 1991. Le passage à la bio me trottait dans la tête, mais je ne me sentais pas de franchir le pas, seul. Retrouver un ami qui avait toujours travaillé dans la bio, a été le déclic qui a permis le lancement de la conversion en 2001, 10 ans après avoir pris conscience du problème des pesticides. À l’époque, si tout le monde parlait des nitrates, la question des pesticides était très peu évoquée. En Bretagne, il y a aujourd’hui 3 050 fermes biologiques, mais en 2001 quand vous engagez la conversion de votre ferme, quelle était la réalité locale ? Comment votre décision a-t-elle été perçue ? Dans un rayon de 25 kilomètres, il ny avait pas de ferme en lait bio, en revanche il y avait déjà deux maraichers à Allaire et à Béganne, car en Bretagne, l’histoire de la bio est liée au maraichage. La décision de passer à la bio a provoqué plusieurs réactions ceux qui disaient il faut voir », ceux qui se disaient qu’on allait se planter, qu’on ne pourrait pas nourrir nos vaches l’hiver suivant. En revanche, beaucoup de consommateurs nous ont encouragés et ça a vraiment été une satisfaction. Au fil des années, le regard sur l’agriculture biologique a-t-il évolué ?Oui, il a changé pour plusieurs raisons. On a eu le Grenelle de l’environnement et un discours sociétal qui a fait évoluer les choses. Les crises du lait dans les filières conventionnelles ont également montré qu’il n’y avait pas de vérité économique dans la filière conventionnelle. Quand on est passé à la bio ici, la conversion apparaissait comme un risque économique, et au final, au fil des années, la succession des crises du lait en 2009/2010 puis en 2015 a été rude et a provoqué des vagues de conversions. Celle qui m’avait porté, à la charnière des années 1990 et 2000 découlait de la crise de la vache folle. Mais les vagues suivantes en 2009/2010, puis en 2015 ont directement découlé des crises économiques qui ont frappé le secteur du lait conventionnel. Chaque crise sanitaire ou économique a montré que la bio pouvait présenter un intérêt pour les producteurs. Pour vous donner une idée, quand j’ai accepté la présidence de Biolait, il y avait 270 fermes adhérentes, quand je l’ai quittée en 2018, il y en avait 1 300. Sur la même période, la collecte de lait est passée de 40 millions de litres à 300 millions. En 8 ans, Biolait a donc connu un développement important. Une telle croissance a-t-elle eu des répercussions sur la gestion de la filière du lait biologique ?Gérer la filière du lait bio, c’est gérer les à-coups. Quand je présidais Biolait, on avait l’habitude de dire que les conversions bio fonctionnaient comme une batterie avec un pôle positif et un pôle négatif. Le pôle négatif, ce sont les vagues de conversions qui accompagnent systématiquement les crises de l’agriculture conventionnelle, ce dont on ne peut jamais se réjouir. Le pôle positif, c’est la croissance soutenue de la consommation de lait bio. Depuis 30 ans, la consommation est en constante augmentation, de l’ordre de 10% par an. Mais cette croissance régulière ne permet pas d’absorber les brusques augmentations de production, qui peuvent atteindre 40 à 50% au plus fort des vagues de conversion. Si malgré ces à-coups, le prix du lait bio est resté constant, c’est grâce au poids économique du groupement Biolait 30% de la production de lait bio en France et au choix des producteurs qui ont parfois décidé de baisser de la production pour maintenir le prix. La filière du lait bio prenant de l’ampleur, n’y a-t-il pas à terme un risque de volatilité du prix du lait bio, comme c’est le cas dans le conventionnel ?C’est une bonne question, mais il est difficile d’y répondre maintenant. Aujourd’hui, en raison du développement limité de la filière bio [1 milliard de litres de lait bio contre 25 milliards dans le secteur conventionnel, ndlr], les producteurs de lait bio conservent un poids dans les décisions. Si demain la filière bio devait être gérée à l’image du secteur conventionnel avec une approche libérale de la gestion des volumes, des laiteries seules à la manœuvre, des multinationales, et des producteurs qui ne peuvent plus se faire entendre, alors, oui, ce serait clairement un risque. Le groupement Biolait est né en 1994. Six agriculteurs du Morbihan et de Loire Atlantique ont eu l’idée de créer un groupement pour collecter le lait bio, en Bretagne, berceau de l’agriculture productiviste. C’était un pari fou, non ?Oui. D’ailleurs, quand on a fêté les 20 ans de Biolait, il y a 5 ans, l’un des fondateurs a dit si on avait su que ça aurait été aussi compliqué, on ne l’aurait pas fait ». Une petite anecdote toutes les laiteries à l’époque ont demandé aux vendeurs de tanks de ne pas en vendre aux producteurs qui voulaient travailler avec Biolait. L’objectif était clair empêcher la création du groupe, car sans tanks, il était impossible de stocker le lait dans les fermes. Il a fallu se tourner vers l’étranger. C’est une société belge qui a accepté d’installer les tanks dans les fermes. Ce projet très fort a été mené par des producteurs confrontés à l’échec des actions syndicales compte tenu des rapports de force. Ils ont compris que pour peser sur la filière, il fallait dépasser la dimension syndicale et penser l’économie. Il fallait créer une structure capable de peser dans les négociations. Il a clairement fallu transgresser un certain nombre de règles pour faire aboutir un tel projet. Quand on voit l’impact qu’il a eu sur la gestion du lait bio, on se dit que parfois ça vaut le coup de transgresser un peu les règles. En 2016, deux certifications bio sur trois étaient des conversions en Bretagne, principalement dans la filière du lait bio. Ce qui signifie que la progression est surtout le fait d’agriculteurs qui passent du conventionnel au bio. Certains disent clairement avoir engagé la conversion davantage pour le prix du lait bio que pour l’éthique. On entend des appels à préserver l’esprit bio. Est-il en danger ?Ceux qui passent en bio uniquement sur le critère du prix du litre de lait se trompent. La bio c’est une approche globale de l’exploitation. Le prix du lait est un élément parmi d’autres dans l’équilibre économique d’une ferme, mais les intrants achat d’engrais, de soja pour nourrir les vaches … pèsent autant, voire plus que le prix du lait. Dis autrement, une ferme bio doit être autonome. En termes de cahier des charges c’est bien, en termes d’équilibres économiques de la ferme c’est encore mieux. Je me souviens d’un reportage sur un agriculteur qui avait 200 vaches laitières. Il avait fait le choix de la conversion, mais il avait échoué en bio, comme il avait échoué en conventionnel. 200 vaches laitières avec un seul exploitant cela implique des coûts énormes pour gérer un tel troupeau, le nourrir ainsi qu’une nécessaire modernisation. Tout ceci à un coût financier. C’est pourquoi je pense que la bio n’est pas faite pour se marier avec un modèle industriel. Par exemple, sur la ferme de Brandeha nous avons 80 vaches et produisons environ 400 000 litres de lait à quatre. En général, en bio, on est sur des volumes de 100 à 150 000 litres de lait par personne travaillant sur l’exploitation, rarement au-delà de 200 000 litres. En conventionnel, le modèle dans des fermes robotisées c’est plutôt entre 400 et 600 000 litres de lait par personne travaillant sur l’exploitation. La mise en perspective de ces chiffres donne une idée de la différence. Diriez- vous que les pouvoirs locaux publics apportent soutien et aide à la filière de l’agriculture biologique ? Je dirais qu’en Bretagne on n’est pas les plus mal lotis. Certes, on pourrait espérer plus, mais les producteurs de lait bio n’ont pas été abandonnés en matière de subventions publiques. Ceci dit, en termes de réorientation des fonds publics on peut s’interroger quand on voit les dizaines de milliards d’euros affectés à une forme d’agriculture qui ne correspondant ni à l’emploi ni à la qualité août 2018, le président du conseil régional Loïg Chesnais-Girard déclarait La Bretagne tourne la page de l’agriculture productiviste. » C’est aussi votre sentiment ?Non, car en Bretagne, une forme d’industrialisation de l’agriculture se poursuit. Je ne veux pas dire que les effets de la modernisation sont à 100 % négatifs, mais pour ce que je connais le mieux, la production laitière, je ne suis pas sûr que la robotisation des fermes par exemple, soit une idée géniale alors que se pose la question de l’emploi ainsi que celle de l’équilibre en matière d’environnement. Clairement quand on robotise un élevage, cela veut dire que les vaches sortent peu, consomment très peu d’herbe ou pas du tout. Donc, tout dépend de la façon dont le président de la région Bretagne conçoit la notion d’intensification, mais pour moi, j’ai plutôt l’impression qu’elle s’accélère. Les discussions sont en cours pour le prochain budget de la PAC. Qu’attendent les agriculteurs bio ?Il y a une forte attente en matière de reconnaissance de notre manière de travailler vis-à-vis de l’environnement. Historiquement, on a eu moins de subventions européennes, car le calcul se base plus sur les cultures que sur les systèmes herbagers. Par ailleurs, même s’il y a eu des compensations par rapport aux mesures agro-environnementales, il n’y a pas vraiment de reconnaissance de ce que l’on peut appeler l’agroécologie en termes de respect de la biodiversité, de développement de haies dans les champs, de soins apportés aux paysages. Or tout cela est générateur d’heures de travail. La reconnaissance aujourd’hui ne se fait qu’à travers le prix du lait. Pour le moment, on a la chance de bénéficier d’une consommation en croissance, d’un prix qui se maintient en raison du poids des producteurs de la filière. Si on devait perdre cela demain, et ne pas obtenir la reconnaissance de l’impact positif des fermes en bio, on peut craindre que l’équilibre économique des fermes en bio tel qu’il existe aujourd’hui serait remis en un reportage réalisé avec le soutien de la Direction générale de l'Agriculture et du Développement rural de la Commission projet a été cofinancé avec le soutien de la Commission européenne. La présente publication reflète uniquement l’avis de l’auteur et la Commission ne peut être tenue responsable de l’usage qui pourrait être fait des informations qu’elle contient. Paiement du lait actualisation des critères de détermination du prix Publié le dans Infos juridiques Le prix du lait dépend de sa composition ainsi que de sa qualité hygiénique et sanitaire. Les critères retenus pour son paiement jusqu’à présent sont actualisés et complétés par catégorie de lait vache, brebis et chèvre par un arrêté et un décret du 9 novembre 2012. Par ailleurs, ces textes fixent le cadre général de réalisation des analyses nécessaires à la détermination de ce prix par des laboratoires indépendants et reconnus. Cette nouvelle réglementation entrera en vigueur le 1er janvier 2013. Il convient de retenir de ces textes les éléments suivants Le point de congélation est ajouté en tant que critère obligatoire dans le cadre de la détermination du prix du lait de vache payé aux producteurs, alors que ce critère est facultatif pour le lait de brebis et le lait de chèvre. De nouveaux critères peuvent également être pris en compte dans le cadre de la détermination du prix du lait. Ces derniers sont facultatifs et pourront être imposés par voie de contractualisation. À titre exemple, nous pouvons citer les critères suivants l’indice de lipolyse, la lactofermentation, le pH, l’acidité Dornic, la composition en acides gras, en fractions azotées… Pour bénéficier du paiement du lait à la qualité, le lait ne doit pas avoir été centrifugé, microfiltré, écrémé ni soumis à tout autre traitement de nature à modifier sa qualité hygiénique et sanitaire. L’utilisation de filtres influençant le nombre de cellules somatiques est interdite. L’arrêté du 9 novembre précise les types de filtration autorisés le lait ne peut être soumis à un type de filtration qui retient des particules plus petites que 70 microns. Les analyses sont réalisées par des laboratoires indépendants, impartiaux, et reconnus. Les résultats des analyses sont transmis à l’acheteur, au producteur ou son mandataire organisation de producteurs. Dans ce cas, il est nécessaire que l’exploitant demande également la communication des résultats si celle-ci n’est pas réalisée d’office. Il doit également veiller à conserver un accès à infolabo système informatique de l’interprofession laitière pour la consultation en direct des résultats d’analyses de lait. Les prélèvements sont réalisés de façon inopinée et selon une fréquence de 3 fois par mois et par exploitant. La fréquence minimale des analyses inopinées est également fixée, à savoir – Teneur en matière protéine, teneur en matière grasse, point de congélation 3 par mois à raison d’au moins 1 tous les 10 jours,– Germe à 30° 2 par mois,– Cellule somatique 1 par mois,– Résidus d’antibiotiques 3 par mois pour les vaches et les chèvres, 1 par mois pour les brebis. Télécharger arrêté Télécharger décret

grille de paiement du lait de vache 2020